Les Guadeloupéens et les prochaines échéances électorales
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L’intérêt pour les élections départementales et régionales à venir se révèle modéré. |
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L’intérêt pour les élections départementales et régionales à venir se révèle modéré. |
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Au mois de novembre 2020, la situation sanitaire, thématique nouvellement mesurée compte tenu de la crise que nous traversons inquiète un quart des Guadeloupéens, ce qui en fait la 4e préoccupation dans notre classement. |
La Guadeloupe a été dès le 1er tour des présidentielles le département dans lequel le vote Macron a été (hors français de l’étranger) le plus élevé. Ce vote a été confirmé au 2nd tour et il n’y a donc pas de surprise à constater que 55% des Guadeloupéens sont satisfaits de son élection à la tête de l’état.
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En cette fin d’année 2016, la distribution d’eau devient la 3e préoccupation des Guadeloupéens, puisque 38% d’entre eux s’en émeuvent. Cette préoccupation est surtout présente en sud Basse-Terre (partagé par 46% des habitants de la 4e circonscription) en raison, évidemment, des conflits qui ont émaillé cette région. |
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L’insécurité en tête des préoccupations des Guadeloupéens En ce premier semestre 2016, l’insécurité redevient la première préoccupation des Guadeloupéens, sans doute en raison des derniers faits divers qui ont émaillé l’actualité. Cette thématique détrône ainsi, le chômage et l’emploi, invariablement en tête depuis la mise en place de ce baromètre, sauf en début d’année 2012, où l’insécurité faisait déjà une première incursion en tête. |
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A l’orée du 1er tour de scrutin concernant la Collectivité Territoriale de Guyane, force est de constater que l’actuel président du Conseil Régional semble disposer d’une avance assez confortable sur ses concurrents, le principal d’entre eux étant Alain Tien-Liong
Certes, les marges d’incertitudes sont encore très élevées , puisque 44% des inscrits pensant aller voter sont encore indécis… et nul ne peut savoir leur choix. Chantal Berthelot, avec sa liste «Cultiver la Guyane» clôt le trio de tête.
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Une opinion publique toujours défiante, L’opinion publique est donc pour le moins perplexe quand il s’agit de désigner une personnalité politique qui pourrait construire l’avenir de la Guadeloupe: 25% des sondés n’identifient aucune personnalité capable de relever ce challenge. |
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La défiance envers la classe politique guadeloupéenne s’ancre et s’amplifie encore. Pour cette nouvelle vague du baromètre politique, réalisée à l’issue des élections départementales, le taux de confiance atteint son plus bas niveau depuis 2007. En ce début du mois de mai 2015, ce sont près de 7 Guadeloupéens sur 10 qui indiquent ne pas avoir confiance en la classe politique locale. |
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A quelques mois d’échéances électorales majeures pour la Guadeloupe, les Guadeloupéens garde une perception positive de la fusion des deux collectivités. Ils sont désormais 76% à affirmer que cette fusion serait une bonne chose, contre 68% 10 mois plus tôt. De plus, 95% souhaiteraient que la population soit consultée dans l’éventualité d’une évolution de nos institutions. |
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L’intérêt pour les dernières élections municipales a été relativement marqué puisque 63% des personnes interrogées déclarent globalement s’y être intéressées. Malgré une participation en recul (61,38%, en 2014 contre 64,03% lors en 2008) les municipales demeurent l’élection locale qui mobilise le plus l’électorat guadeloupéen et celle pour laquelle l’intérêt de la population est le plus affirmé. |
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Au cours des 3 dernières semaines, l’actualité politique a été marquée par les élections municipales et communautaires qui ont attisé la querelle idéologique entre le GUSR et la fédération du parti socialiste, avec comme conséquence la fragilisation (du moins pour un temps) du socle de gauche. A la suite de ces élections, Victorin LUREL a démissionné de son poste de ministre pour reprendre ses mandats de député et de président du Conseil Régional. |
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Deux tiers des Martiniquais se disent intéressés par les élections municipales, ce qui augure des taux de participations assez importants : les scrutions concernant les édiles mobiliseraient donc toujours autant les citoyens. Pour ces derniers, les principales actions à entreprendre dans les communes sont l’action en faveur de jeunes d’une part (pour 67% des Martiniquais), la création d’emploi et le développement économique d’autre part (pour 64% des Martiniquais). |
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A 3 semaines de la campagne électorale concernant les municipales, 70% des Guyanais se disent déjà intéressés par ce scrutin, un intérêt évidemment plus marqué chez les plus âgés d’entre eux. Les actions en faveur des jeunes (79% de citoyens), la création d’emploi et le développement économique (78%) puis la sécurité des habitants (73%) sont les priorités auxquelles doivent s’atteler les maires. La gestion de l’immigration clandestine, l’animation de la ville et de la vie culturelle, l’environnement et les espaces verts sont des actions moins mobilisatrices aux yeux des citoyens. |
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Avant le début de la campagne électorale concernant les municipales, plus des 2/3 des Guadeloupéens se disent déjà intéressés par ce scrutin, un intérêt évidemment plus marqué chez les plus âgés d’entre eux. La création d’emploi et le développement économique (61% des citoyens), puis les actions en faveur des jeunes (57%) sont les priorités auxquelles doivent s’atteler les maires. Suivent ensuite la sécurité des habitants, les transports publics, les actions en direction des publics cibles (personnes âgées et personnes défavorisées), la propreté et l’entretien de la ville. |
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Le chômage et l’emploi reviennent au premier plan des préoccupations des Guadeloupéens affichant un bond de 10 points par rapport à octobre 2012. La préoccupation sécuritaire gagne également du terrain, désormais 54% des sondés (contre 52% quatre mois plus tôt) affirment que l’insécurité constitue une de leurs préoccupations majeures. Les nombreux faits divers relatés dans les medias depuis le début de l’année 2013 ne sont sans doute pas étrangers à cette sensible percée du thème de l’insécurité. |
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Cette nouvelle livraison du baromètre de QualiStat permet de prendre le pouls de l’opinion après six mois marqués par des scrutins nationaux ayant largement contribué à la redistribution des cartes sur l’échiquier politique local: nomination de Victorin Lurel au poste de ministre des Outre-Mer du gouvernement Ayrault; victoire d’Ary Chalus aux élections législatives dans la troisième législative (et défaite de Jeanny Marc); désignation de Josette Borel-Lincertin à la tête du conseil régional de Guadeloupe; désignation de Hélène Vainqueur comme députée de la quatrième circonscription en lieu et place de Victorin Lurel. |
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A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, les Martiniquais restent intéressés par le scrutin même si un net repli est observé par rapport à mars 2007: 61% des Martiniquais se sentent concernés par cette élection contre 75% il y cinq ans. |
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A un peu moins de trois mois du premier tour de l’élection présidentielle, l’intérêt pour le scrutin reste marqué même si un repli est observé par rapport à janvier 2007: 71% des guadeloupéens se sentent concernés par cette élection contre 77% en janvier 2007. |
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Dans un contexte où les préoccupations des Guadeloupéens se cristallisent autour des questions économiques (chômage, emploi, situation économique, pouvoir d’achat..), l’insécurité et l’environnement, la côte de confiance accordée à la classe politique locale observe un léger regain de 4 points par rapport à la période post-cantonale. Elle s’établit à 32% contre 29% en avril dernier. Dans le même temps, la défiance quant à la classe politique locale régresse légèrement, passant ainsi de 70 à 65%. |